Atelier Hong Kong Marc

Arrivée à l’hôtel

Il est 5 heures du matin, Lucas, un jeune garçon de 12 ans, se réveille. Il est dans l’avion pour Hong-Kong car son père doit faire un reportage sur la banque de Chine car le directeur de banque est mort et sa mère une exposition de ses peintures chinois. Son père est un petit homme blond, avec des grands yeux bleus, de la barbe et des taches de rousseur que sont héritée. Sa mère, une dame au long cheveux noir, brillants dans lumière, avec des yeux marron et bridés, est une chinoise très sportive mais voulant que tout soit toujours parfait. Lucas regarde la carte ; l’avion passe au dessus de L’Himalaya, le jeune garçon regarde bouche bée les grandes montagnes couvertes de neige. Il se plonge dans son Sherlock Holmes car plus tard il deviendra un grand détective, mais il est tout de suite interrompu par l’hôtesse de l’air qui lui apporte son petit déjeuner. Il y a des saucisses, du riz et du pain au beurre. Lucas n’a pas aimé le riz mais il a adoré le pain et les saucisses. Ensuite, il demande un chocolat chaud. Il n’a même pas eu le temps de le boire de le boire que le chocolat se prend dans la turbulence et atterrit sur la tête de la vieille dame de derrière qui pousse un cri aigu qui réveille tout les passagers. Lucas s’excuse et se replonge dans son Sherlock Holmes. Il lit un chapitre et quand il commence son deuxième, il se fait arrêter par grave du pilote : « nous allons atterrir dans 15 minutes. Nous sommes à 5000 mètre d’altitude et la température extérieur est de – 18 degrés, Attachez bien vos ceintures, merci de votre compréhension. » Lucas commence à ce plaindre : « On ne peut pas lire son livre en paix ! »Une hôtesse de l’air arrive pour reprendre son plateau. Il entend un petit son, il lève les yeux ; le signe de la ceinture de sécurité est allumé. Il l’attache, ferme son livre et regarde par le hublot ; les seules sources de lumière sont les vitres éclairées de l’ aéroport. Lucas est étonné de la douceur de l’atterrissage. C’est sûrement parce qu’il avait serré très fort son grigri africain en forme de dent de lion. Dès que le signe lumineux s’est éteint, il détache sa ceinture, prend son sac, se faufile entre ses parent qui discutent avec une hôtesse et les attend à la sortie de l’avion. Une fois ses parents avec lui, Lucas se dirigent vers l’immigration. Ça dure lomptemps car l’officier prend 15 minutes pour chaque personne. Après, ils vont chercher leurs bagages. Le père pousse un chariot sur lequel est allongé notre petit héros, fatigué du long voyage. L’aéroport est grand et vaste. Pour la douane, tout se passe bien car le douanier est anglais. A la sortie, ils prennent un taxi.
Une fois ses parents avec lui, Lucas se dirige vers l'immigration, ceci prit longtemps car, l'officier d'immigration prit 15 minutes pour regarder chaque passeport. Puis notre petite famille se dirige vers l'endroit où ils retrouveront leurs bagages. Le père de Lucas pousse le chariot sur lequel est allongé notre héros fatigué du long voyage. L'aéroport est grand et vaste. Lucas est rassuré car les gens ne parle pas que le chinois. Dans le taxi, les paupières de Lucas se ferme. Il se réveille dans une petite maison de bois perdu au cœur d'une forêt. Dans le couloir, en face de lui, se tient un homme mal habillé, vieux avec des boutons partout. Lucas l'entend l'omme ricaner d'un rire mauvais : " Lucas, Lucas, "
Il sent quelqu'un le secouer, " Lucas on est arrivé ! "Il ouvre ses yeux et viot sa mère, derrière elle se dresse un grand immeuble sur lequel est écrit : South Pacific hotel. Le père de Lucas paye le chauffeur de taxi.

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